jeudi 30 juillet 2015

Bonjour à tous, 
On se retrouve aujourd'hui pour un article d'un tout nouveau genre que je reproduirai sans doute si ça vous plait! Comme je l'avais dit sur Twitter, l'heure du Smartphone a sonné et j'ai donc bien envie de vous emmener en vadrouille avec moi de temps en temps.  A vous de me dire si vous aimez partir à l'aventure avec moi!

Aujourd'hui, je vous emmène au restaurant Mamie Bigoude, un restaurant à l'univers un peu décalé. Construit sous forme d'une maison avec un salon, une salle à manger, la cuisine, la jardin, la chambre, ou encore la salle de bain, chaque pièce du restaurant a un thème. Un univers un peu kitsch dans le bon sens du terme, la maison d'une mamie à l'univers bigouden-rock'n Roll. 

J'ai pour ma part été à celui de Tours, pour la troisième fois. J'y ai été, comme à chaque fois, transporté par son univers un peu hors du temps. La décoration très soignée et très recherchée permet vraiment de déconnecter. Vraiment un bon moyen de se changer les idées à bas prix (14 euros le menu Mamie avec entrée et plat => soit dit en passant largement suffisant puisque les quantités sont assez importantes). La spécialité de Mamie Bigoude, c'est plutôt le domaine de la crêperie.  Cela dit, on y trouve tout pleins d'autres choses, dont des salades, burgers ou des entrées plutôt sympas! Dans tous les cas, ce restaurant se démarque par l'originalité de ses recettes, un peu moins traditionnelles qu'à d'autres adresses! 

Seul point noir selon moi: la fréquentation du lieux. En effet, ce restaurant se veut familial, ce qui se révèle être un avantage quand on a des enfants, mais un inconvénient lorsque l'on doit subir la tyrannie d'enfants qui crient ou courent dans le restaurant. Pas idéal pour un moment romantique donc! 

En revanche, je suis toujours étonnée par l'accueil très sympathique des employés de Mamie Bigoude. A chaque visite, les serveurs étaient plus souriants et polis les uns que les autres, un accueil dans la simplicité que j'ai apprécié. Très serviables et réactifs, peu importe qu'on ait parfois attendu nos plats un certain temps lorsque le restaurant était bondé, puisqu'en fin de compte on y était tellement bien qu'on s'est vraiment sentis comme à la maison.

En fin de compte, c'est ça la force de Mamie Bigoude, elle nous ramène à nos souvenirs d'enfance, maniant parfaitement le mélange entre valeurs familiales et amusement. Une vraie réussite! 

Bref, assez papoté, je laisse les photos parler! 


 Non non, vous ne rêvez pas, c'est bien une baignoire, suivi juste en dessous de son ami lavabo où nous avons mangé!



Alors, qu'avez vous pensé de Mamie Bigoude? Avez-vous envie d'autres articles dans le même genre?

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samedi 18 juillet 2015

Bonjour à tous!

On se retrouve aujourd'hui pour un sujet que j'ai beaucoup hésité à aborder. Il n'a jamais été un tabou pour moi, mais j'avais un peu peur que vous le ressentiez comme de l'étalage de vie privée. J'ai quand même décidé de me lancer parce que c'est un sujet qui mérite qu'on en parle, mais que malheureusement, je n'ai pas, moi même, trouvé d'interlocuteurs renseignés sur le sujet ou qui serait au moins passé par là!

Comme le titre l'indique (très subtilement...), j'ai décidé d'arrêter la pilule. Pas dans l'optique de faire un bébé, juste pour arrêter "d'intoxiquer" (mot un peu fort je vous l'accorde mais je n'ai pas trouvé mieux) mon corps. Je ne déconseille pas la pilule, je ne la diabolise pas et je pense même qu'elle est indispensable dans certains cas, comme elle l'était pour moi à l'époque où je faisais mes études et où je n'aurais pas pu gérer un bébé surprise. Seulement voilà, mon expérience avec elle a été plus que mitigée. Pour vous expliquer tout ça, je crois qu'il faut que je vous explique mon parcours.

En 2010, je commençais ma première pilule, pilule que mon médecin généraliste jugeait révolutionnaire. Il s'agissait de Qlaira, pilule produite avec des hormones naturelles. Autant vous dire que j'étais emballée. Mais ça n'a malheureusement pas duré: Prise de poids de 10kg en 6 mois (toujours pas reperdus...), apparition de mes premières migraines, et surtout sautes d'humeurs, et beaucoup de pleurs sans véritables raisons. Par contre, règles régulières, moins douloureuses et diminution de l'acnée. 

Je suis donc, comme vous l'imaginez, revenu chez mon médecin pour changer de pilule. Evidemment, il a eu l'air de me prendre pour une folle quand je lui ai expliqué ça mais il a quand même consenti à me prescrire du Trinordiol. Là, un vrai changement, j'ai moins pris de poids, et surtout, je n'avais plus le sentiment d'être dépressive, prête à péter un plomb pour rien. Oui parce que pour la petite histoire, j'étais tellement émotive à l'époque Qlaira, que je me mettais à pleurer devant une fanfare... ou mon frigo vide! Non ne riez pas! Revenons à Trinordiol. Tout se passait donc mieux, hormis les migraines.... et un taux de cholestérol qui crevait le plafond. Après traitement anti-cholestérol, rien ne changeait.

C'est là que j'ai été à mon premier rendez-vous gynéco (un cap obligatoire!), gynéco choquée par les choix de pilule de mon médecin gé. Résultat: arrêt de Trinordiol et prise d'une pilule sans œstrogènes, Optimizette (qui a un nom super chouette hein?). Là-dessus, le cholestérol a diminué, les migraines aussi. Sauf que là, alors que je ne suis plus sensée avoir mes règles, je les avais toutes les deux semaines, et de façon totalement imprévue.  Autant vous dire que c'est plutôt contraignant

Toutes ces mauvaises expériences m'ont un peu dégoûté de la pilule contraceptive. En plus de ça, je ne suis pas très fan de l'idée de bombarder mon corps d'hormones, surtout quand on voit les mésaventures que ça occasionne à certaines jeunes filles. J'espère aussi diminuer mes migraines, peut-être perdre du poids, mais surtout retrouver la fille que j'étais avant, la fille qui gérait ses émotions, ne s'énervait pas et ne pleurait pas pour rien. Et les deux raisons bonus?? Déjà parce que je fais que de l'oublier (très sécuritaire tout ça...) mais aussi parce que je suis à un âge où je pourrais avoir envie de tomber enceinte et que ce jour là, je n'aurai pas envie d'attendre 1000 ans pour être en mesure de concevoir un bébé.

La raison d'être de cet article, c'est que j'avais envie qu'on échange à ce sujet, que vous ne vous sentiez plus seules quand votre gynéco vous dit, comme à moi, que c'est absurde d'arrêter. Je ne prône absolument pas l'arrêt de la pilule, ni n'incrimine les hormones. Je ressens juste que ce n'est pas fait pour moi. Parfois, je crois qu'il faut savoir écouter son corps. Nous avons de notre côté pris cette décision en couple et je vous encourage à faire de même! L'avenir me dira si j'ai pris la bonne décision, je suis en tout cas pleine d'espoir! 

J'aimerais maintenant beaucoup connaître vos avis ou expériences à ce sujet. 

Voudriez-vous que je vous donne le bilan de l'expérience dans 6 mois-1 an? 

A bientôt les copines! 


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mardi 14 juillet 2015

Bonjour à tous,
On se retrouve aujourd'hui pour un article un peu fouillis mais important pour moi parce qu'il reflète une prise de conscience que j'ai eu la semaine passée et qui, sans doute, modifiera mon rapport à internet.

Depuis quelques temps, ma vie est rythmée par mon accès à internet. C'est la première chose que je fais le matin et aussi la dernière le soir. Entre temps, il m'arrive parfois de passer 2h sur internet, à faire des choses qui ne m'intéressent pas vraiment, juste comme ça, pour tromper l'ennui.

Depuis quelques temps, je ne lis plus de vrais livres en papier, j'ai toujours l'impression de manquer de temps. Je me sens mal presque physiquement lorsque je ne peux pas regarder mon ordinateur lorsque je le veux, je le ressens comme une punition, je suis irritable, agressive parce que je n'ai pas eu ce que je voulais. Pire encore, j'ai l'impression de perdre mon temps lorsque je vis ma vie réelle, loupant la vidéo ou l'article que j'attendais.

Depuis quelques jours, j'ai été privée d'internet, privée de ma vie 2.0. C'est là que je me suis rendue compte à quel point ça me manquait, à quel point je m'étais forgée une bulle. J'ai alors recommencé à vivre ma vie, ma vraie vie.

J'ai recommencé à voir la beauté des choses, à passer 2 heures à table sans me presser pour consulter Twitter ou autres, à écouter le silence, les bruits du  vent... Je me suis simplement rendue compte que je passais à côté de ma vie.

Et c'est là que je me suis posée une question: Au final, lorsque je ferai le bilan de ma vie, est-ce que je ne regretterai pas d'avoir passé les meilleures années de ma vie devant un écran? Est-ce que je ne ruine pas ma santé et ma vie à passer la moitié de ma journée assise avec mon PC sur les genoux?

J'aime mon petit monde virtuel et je ne suis pas prête à y renoncer, mais je crois qu'il est temps que je comprenne qu'en fin de compte, peu importe que telle bloggeuse arnaque ses lecteurs en se vendant à coups de partenariats, peu importe le nombre de commentaires  que je reçois ou le nombre de followers que je peux avoir, peu importe que je lise le post de ma bloggeuse préférée avec deux jours de retard, ou encore que cette même bloggeuse ait un rythme de publications beaucoup plus soutenu que le mien. Peu importe aussi que je ne poste pas pendant un mois.

J'ai compris que j'avais crée mon blog pour me faire plaisir, pour parler de ce que j'aime, pour rencontrer de nouvelles personnes. Puis mon blog a pris une place que je n'avais pas prévu, j'ai voulu qu'il fonctionne, je me suis investie et j'ai délaissé ma propre vie. J'ai fini par oublier que ce monde là n'était que superficiel et que la vraie vie est en dehors.

Il est temps que je revois mes priorités et les exigences que j'ai envers moi-même. Je veux que mes aventures sur internet soient rythmées par trois mots:

Relativiser - Prioriser - Vivre 

J'espère que vous aurez pu comprendre mes drôles de propos.

Et vous, avec vous déjà pensé que le monde d'internet vampirisait votre propre vie?

A bientôt!


vendredi 3 juillet 2015

Bonjour à tous,

Je vous retrouve aujourd'hui pour parler de la façon dont j'ai pu espacer mes shampoings. Ce n'était pas un article prévu, mais contre toute attente, je me suis rendue compte que j'avais réussi à presque remporter ma bataille anti-cheveux gras donc j'ai voulu partager ça avec vous.

Avant toute chose, il faut que je vous parle de ce qui m'a poussé à entreprendre cette petite bataille personnelle. Il y a environ 5 ans, j'arrivais dans une ville très polluée et là, mes cheveux sont passés de normaux à gras. Ils étaient sales très rapidement, si bien que de deux lavages par semaine, je suis passée à 1 (voire 2) lavages par jour! Je n'étais pas encore familière avec le monde de la beauté, et j'étais donc totalement ignorante des effets à long terme de cette mauvaise habitude. Inévitablement, mes cheveux se sont abîmés. J'ai donc décidé d'en couper une bonne partie, me forçant alors à faire un brushing à chaque shampoing, de façon à éviter la coiffure année 50 avec les cheveux qui rebiquent sur les épaules.

C'est là que je me suis rendue compte que c'était extrêmement chronophage et qu'il fallait que ça s'arrête. Après deux mois d'efforts, me voici donc au moment où je peux tenir 3 jours sans shampoings, ce qui me paraissait complètement impossible il y a quelques semaines! J'ai donc décidé de vous donner 5 astuces qui ont marché sur moi.

Je précise que je donne ces astuces en toute modestie, je ne suis pas coiffeuse.

1) Trouver le bon shampoing.

Pour ma part, il s'agit du shampoing "Le Petit Olivier" dont on entend très peu parler. J'ai découvert cette marque en faisant mes courses en commençant d'abord par le gel douche (qui est excellent au passage). Puis j'ai tenté le shampoing, d'abord celui à la myrthe qui ne me convenait pas du tout, puis celui à la pêche pour cheveux normaux. Et alors, là, ce fut la révélation! Non seulement ce shampoing sent divinement bon, mais il m'a aussi permis de conserver des cheveux propres plus longtemps. Il y a vraiment eu un avant/après. En plus de ça, la composition est plutôt clean et la marque respecte des valeurs écologiques qui me sont chères. Je ne suis pas prête de lâcher ce petit shampoing, très bon marché qui plus est. 
Une marque que je conseille vraiment pour les shampoings et gels douches! Je ne me prononce pas pour leurs autres produits puisque pour l'instant, je ne les ai pas trouvé en magasin, à mon grand regret car j'aimerais vraiment tester cette marque comme elle le mérite. Si vous connaissez, n'hésitez pas à donner vos avis en commentaires!

2) Masser votre cuir chevelu.

Astuce peut-être étrange mais pour ma part, lorsque je masse mon cuir chevelu lors de mon shampoing, je vois vraiment la différence. Mes cheveux sont moins "collés" au crâne, plus aériens. Du coup, j'ai l'impression que les impuretés partent mieux et que le sebum est produit en moins grande quantité. Ce n'est que mon appréciation personnelle mais je trouve que ça a bien marché sur moi.

3) Faire un brushing.

Bon là j'avoue, j'abuse. En effet, qui dit brushing dit chaleur, ce qui va à l'encontre de toutes les règles de base en matière de protection capillaire. Personnellement j'utilise "Uniq one" avant le séchage et je sèche à froid sur mon sèche-cheveux (ce qui prend un temps considérable,on est d'accord!). Du coup, je n'ai pas eu l'impression que mes cheveux s’abîmaient particulièrement. Pour en revenir au brushing, je vois vraiment une différence quand j'en fais un ou non. Je gagne une journée environ. Cela dit, maintenant que j'ai bien espacé mes shampoings, je fais de moins en moins mon brushing, c'est moins nécessaire. 
C'est juste une observation personnelle, n'importe quel coiffeur vous dira plutôt de faire l'inverse. 

4) Utiliser des shampoings secs. 

Là ça a été l'astuce avec un grand A. Pour ma part, j'ai utilisé le shampoing sec "Batiste" qui ne m'a pas franchement séduite puisqu'il me laissait des traces blanches malgré tous mes efforts pour les éliminer. Par contre, force est de constater qu'il absorbe vraiment bien le sébum. Au départ, j'ai du beaucoup en faire, environ un jour sur deux. Maintenant, je n'en fais presque plus.

5) Arrêter de passer votre main dans vos cheveux.

Ça, c'est juste du bon sens. Ben oui, si avec vos mains sales (peut-être moites avec cette chaleur),vous venez toucher votre mèche (Oui oui, je suis sûre que vous le faîtes...) ou vos racines en permanence, le cuir chevelu va se protéger des impuretés en sécrétant du sébum. Les cheveux vont donc regraisser à vitesse grand V! 

Voilà donc mes petites astuces qui vous permettront peut-être aussi de passer quelques jours tranquilles! 

Et vous, vous vous lavez les cheveux à quelle fréquence? Avez vous aussi des petites astuces?

A bientôt!